- les trous dans la route de 1 mètre de large et 2 mètres de profondeur (au bas mot selon Isa... que Sophie se demande son accloyte n'est pas Marseillaise). Assez sympa quand on se balade la nuit ; malin d'avoir pensé à la lampe de poche (merci Sophie, t'as d'bonnes idées sous ton chapeau).
- les chaussettes qui pendent avec leurs stalactiques sur des fils à moitié électrifiés. Après nos séjours en guest house, on a compris pourquoi ils les mettent dehors : il fait encore plus froid à l'intérieur.
- les semi-HLM. On aime bien, on ne sait pas pourquoi mais on aime bien.
- ces ambiances un peu moroses, de vie ultra-lente, qui donnent l'impression que rien ne s'y passe mais accoudé à la fenêtre de l'hôtel, a y regarder d'un peu plus près, on a le sentiment que wo-ho, c'est hyper puissant ce qui se déroule dans ces villes. Ca aussi, on adore, on ne sait pas pourquoi, mais on adore.
- les Ladas. Alors là, c'est des super voitures. Quand elles s'arrêtent au milieu du chemin, il suffit de leur mettre un petit torchon sur le moteur ou un petit coup d'eau bouillante sur le bout du nez (et là, c'est du vécu, du vrai de vrai) et hop, ça repart de plus belle. Et puis leurs pédales en forme de petits pieds... trop chou. Peugeot peut aller se rhabiller.
- les stations essences : le "refill" est fait au moyen d'un câble hyper fin relié à une bombonne située dans le coffre. On comprend pourquoi il faut sortir de la voiture pour la manoeuvre.
- la télévision, facebook et msn en russe. On ne comprend rien de toute façon ; on a juste remarqué que les lettres étaient pas les mêmes.
- les bonbons russes, source de fierté pour les Arméniens : "c'est russe !". C'est dégueulasse, mais c'est russe.